Make Event Great Again : retour sur notre "festival season" américaine
- Romain ODC

- 29 avr.
- 3 min de lecture
Du SXSW à Coachella, notre équipe a traversé les États-Unis au rythme des plus grands festivals.

Un voyage au pays du divertissement XXL, où les marques, les produits dérivés et les cocktails gratuits rythment autant les journées que les concerts.
Voici ce qu'on en retient — et comment, chez ODC, on cultive une autre idée de l'événement : plus vraie, plus humaine.
Brand me if you can
Aux États-Unis, les marques sont partout.Sur les murs, au sol, dans les airs. Les célèbres billboards de Los Angeles, les pop-up stores à Austin, tout rappelle que désormais, le produit compte moins que le lifestyle.

Au SXSW, on ne vient pas uniquement découvrir la série The Last of Us. On vient pour espérer croiser Pedro Pascal en train de manger des tacos chez Torchy’s. À Coachella, ce n’est même plus un festival de musique : c’est le nouveau rêve américain en version Instagram. L’after-party dans une villa Guess devient "the place to be", sans même qu'un seul jean de la marque n’apparaisse.
Chez ODC, on a une autre approche : pas de caméras braquées sur vous, pas de scénographie surjouée. Le jour de votre événement, vous êtes la star. Et ça, ce n’est pas un rôle qu’on distribue. C’est une place qu’on crée.
Merch un peu too much
Il aurait fallu prévoir une deuxième valise. Entre les tote bags, les casquettes, les t-shirts, les bandanas et même… les caleçons brandés Terry Black’s Barbecue (!), le merchandising est roi.

Avouons-le : on a craqué pour un t-shirt Lady Gaga à Coachella. Mais attendre 45 minutes pour un tote bag Amazon ? Là, on a dit stop.
Chez ODC, on préfère les souvenirs vrais aux goodies jetables. On veut que vous repartiez avec des photos de fous rires, des trophées gagnés en équipe, des souvenirs d’émotions partagées. Pas avec un t-shirt que vous porterez une fois… pour repeindre votre salon.
Dry January, c’est fini
Autre découverte : l’omniprésence de l’alcool, souvent offert. À Austin, c’est un festival de free drinks : Manhattan chez Paramount, Margaritas à la Longhorns House, open bar à la soirée French Tech.
Même dans les bars de Dirty 6th Street, les tournées sont gratuites pour les passants.
À Coachella, les cocktails grimpent à 18 dollars, mais les marques comme Aperol, Patrón ou White Claw assurent une présence massive. Chez ODC, on le sait : un verre peut être un excellent ice-breaker (toujours avec modération !).
Mais on préfère créer des expériences qui n'ont pas besoin d'alcool pour être inoubliables. Imaginez : une chasse au trésor à bord d’un voilier, un tournoi de simulateur F1, un défi culinaire en équipe… Le cocktail, vous le prendrez pour célébrer votre victoire !
L'Amérique : entre grand spectacle et vraies émotions
Aux États-Unis, le show est total.La scénographie est spectaculaire. Le service est irréprochable.On en prend plein les yeux, du premier au dernier jour.
Mais ce qui nous a le plus marqué, ce n’est pas la grandeur.C’est la simplicité des moments vécus : danser sans retenue, se prendre en photo dans un photo booth délirant, s'affronter au corn hole sous le soleil texan.

Chez ODC, c’est exactement ce que l’on veut défendre. Créer des événements où chacun devient acteur — et pas simple spectateur — de son expérience.
Notre French Touch ? Elle est là : dans l'authenticité, le jeu, la connexion. Pas dans les paillettes sans histoire.



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